Avortement : un droit qui n’existe pas et n’a jamais existé - La Fédération européenne One of Us, dont la naissance et la mission s’inscrivent dans la vie même de l’être humain à naître pour le défendre et le protéger, applaudit et soutient la décision de la Cour suprême des États-Unis dans l’affaire Roe v. Wade. Aujourd’hui, nous célébrons la défense de l’enfant à naître comme UN DE NOUS. Aujourd’hui, la justice soutient la science en soulignant que l’être humain à naître est un être humain et mérite donc d’être protégé.
La décision rendue par la Cour suprême des États-Unis d’annuler Roe v. Wade est une étape cruciale pour le droit à la vie et pour la protection des membres les plus vulnérables de la famille humaine, l’enfant à naître. Aujourd’hui, cinquante ans après et le nombre effrayant de plus de 60 millions d’avortements légaux aux États-Unis, le bébé à naître peut être légalement protégé.
Le renversement de Roe v. Wade sera attaqué et déformé, sans aucun doute. Face à cette décision, on voit déjà comment la plupart des commentateurs s’empressent de lancer des attaques contre le mouvement pro-vie, sans analyser de manière juste, rationnelle et honnête les raisons personnelles et culturelles impérieuses qui ont contribué à la décision d’aujourd’hui. Avec la couverture médiatique écrasante en faveur de l’avortement, il existe de nombreuses lacunes qui ne sont pas prises en compte pour présenter au public la version exacte de ce qui a conduit la Cour suprême à cette décision historique. C’est notre mission à tous de combler ces lacunes et d’expliquer toutes ces raisons en faisant appel à la raison fondamentale : le bébé à naître est L’UN DE NOUS.
L’imposition de l’avortement comme doctrine unique et sans recours soulève aujourd’hui de sérieux doutes. L’avortement demeure certes, mais ce N’EST PAS UN DROIT. Les droits de l’homme l’emportent aujourd’hui car il n’y a que le droit à la vie, il n’y a pas de droit à la mort.
La Fédération One of Us célèbre cette victoire des droits humains et du droit à la vie. Sa position et son analyse rendent justice de cette décision dont elle se félicite pour toutes les femmes car aujourd’hui, nous sommes plus libres.
Source : oneofus.study