Dans "La Dernière partie", Franck Dubosc rejoue avec émotion la fin de vie de son père - C'est une fiction qui a une résonance particulière pour lui. Dans La Dernière partie, ce lundi 8 novembre sur TF1, Franck Dubosc change de registre et joue un rôle inspiré de sa propre expérience. Le comédien qui a soufflé l'idée du scénario se glisse dans la peau de Christophe Maquet, un avocat à succès, qui s'apprête à recevoir la Légion d'Honneur. Une consécration pour ce fils d'ouvrier, avide de reconnaissance. Mais au même moment, il apprend que son père (Guy Marchand), gravement malade et avec lequel il est brouillé depuis de nombreuses années, a décidé d’organiser son départ le jour même de sa cérémonie. Bouleversé, il va passer quelques jours avec lui.
Naviguant subtilement entre ironie et gravité, La Dernière partie traite du thème complexe de l'euthanasie à travers l'histoire d'un père et de son fils qui n'ont jamais vraiment réussi à s'entendre. Une relation compliquée qui fait écho à celle de Franck Dubosc et de son père Lucien Dubosc atteint de la maladie de Charcot, et qui a eu recours à l'euthanasie en 2002. "Un jour, ma mère m'a dit : 'Papa meurt mardi. Es-tu d'accord ?' (…) J'étais en tournée, je suis revenu pour voir mon père une dernière fois. Il était atteint de la maladie de Charcot. Très diminué, il estimait que cela suffisait", a confié Franck Dubosc lors du Festival de La Rochelle où était présenté le film.
Source : lci.fr
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Cet article illustre clairement une des formes de la propagande des lobbies pro-euthanasie. Le procédé est simple : un acteur reconnu met sa notoriété au service de la mort. Cette pratique étant illégale en France, il nous paraîtrait opportun de signaler ce film auprès du CSA en indiquant que la loi aurait due être rappelée au moment de la projection du film et en expliquant en quoi consistent les accompagnements de fin de vie par des soins palliatifs.