Les pays signataires se sont prononcés pour une « coordination renforcée » de la gouvernance de l’IA. Pour cela, il est nécessaire de créer un « dialogue mondial » et d’éviter « une concentration du marché » afin de rendre cette technologie plus accessible. « Rendre l’intelligence artificielle durable pour les populations et la planète » figure également comme l’une des priorités. Pour cela, la création d’un « observatoire de l’impact énergétique » de l’IA a été officialisé lors du Sommet. Il sera piloté par l’Agence internationale de l’énergie.
« Nous posons là les bases, à côté de l’innovation et de l’accélération, de ce qui va permettre à l’IA d’advenir et de tenir, c’est-à-dire les clés de la confiance » affirme Emmanuel Macron.
Néanmoins, l’absence de deux grands pays témoigne des divisions que ce sujet soulève. Le vice-président américain J.D. Vance craint une « régulation excessive » qui « pourrait tuer une industrie en plein essor ».
Source : www.genethique.org