Les agences des Nations Unies ignorent l’Assemblée générale et promeuvent un programme radical en 2022

Les agences des Nations Unies ignorent l’Assemblée générale et promeuvent un programme radical en 2022
Publié le
December 22, 2022

Les agences des Nations Unies ignorent l’Assemblée générale et promeuvent un programme radical en 2022 - WASHINGTON, D.C., 23 décembre (C-Fam) À l’Assemblée générale des Nations Unies, l’avortement, l’homosexualité, le transgenrisme et l’éducation sexuelle globale ne sont pas soutenus par un consensus et tendent à provoquer une forte opposition.  Même s’il n’y a pas de consensus sur ces questions parmi les États membres de l’ONU, les agences spécialisées de l’ONU sont devenues de plus en plus agressives dans leur promotion.

L’exemple le plus extrême de dépassement d’agence en 2022 a été la publication par l’Organisation mondiale de la Santé d’une ligne directrice sur l’« avortement sécuritaire ». Il a exhorté les pays à supprimer toutes les restrictions légales à l’avortement, à limiter la liberté de conscience des professionnels de la santé et à fournir des pilules d’avortement par télémédecine.  Les experts consultés par l’OMS pour aider à élaborer la ligne directrice provenaient principalement de groupes de défense de l’avortement.

L’OMS a également annoncé son plan de mise à jour de son manuel « Gender mainstreaming » pour refléter sa position selon laquelle le genre n’est pas un binaire homme-femme, mais plutôt « existe sur un continuum ».

À la fin de l’année dernière, le président américain Joe Biden a nommé Catherine Russell à la tête de l’UNICEF.  Russell a une longue histoire de promotion de l’avortement et du terme controversé « santé et droits sexuels et reproductifs », ou SRHR, dans la politique internationale.  L’UNICEF accueille une initiative mondiale d’éducation intitulée « L’éducation ne peut pas attendre », qui promeut la SRHR et l’éducation sexuelle complète pour les enfants.

Plus précisément, les documents « L’éducation ne peut pas attendre » pointent les parties prenantes vers les lignes directrices sur l’éducation sexuelle publiées par l’UNESCO, l’agence des Nations Unies axée sur l’éducation.  En septembre, l’ONU a organisé un sommet sur l’éducation où les participants ont appelé à ce que l’éducation sexuelle commence dès l’âge de 2 ans, et à ce que les normes sociales traditionnelles soient bouleversées.

ONU Femmes, l’agence axée sur la promotion des droits des femmes et l’égalité des genres, a reçu des plaintes d’organisations de la société civile pro-vie et pro-famille en raison de la participation de plus en plus agressive à la Commission de la condition de la femme.  Le Comité des ONG, qui fonctionne sous l’égide d’ONU Femmes, a publié des lignes directrices exigeant que les organisations acceptent de ne pas utiliser un « langage offensant » concernant des questions comme l’orientation sexuelle, l’identité et l’expression de genre.  Si elles sont interprétées de façon stricte, ces lignes directrices pourraient exclure les organisations conservatrices de l’organisation d’événements ou de la participation entière à la commission.

Source : c-fam.org

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