Un lycée change le genre d’une élève sans en aviser les parents - Les parents de Lucie ont découvert que les enseignants du lycée appelaient leur fille de 15 ans Louis et s’adressaient à elle au masculin.
Les faits remontent à la dernière rentrée scolaire de septembre 2021. Lucie, 15 ans, se fait appeler Louis par l’ensemble du corps enseignant de son lycée y compris sur des contrôles écrits. L’élève avait ainsi demandé au personnel éducatif « s’il était possible d’inscrire le prénom Louis sur la liste des élèves étant donné qu’(elle est) un garçon transgenre. [Ses] parents ne le savent pas », explique-t-elle, selon un témoignage recueilli par le Figaro, mardi 31 mai. Une demande visiblement acceptée. Si ses parents n’avaient remarqué « aucun signe avant-coureur » de la transformation de leur fille, ils estiment aujourd’hui que « c’était une façon d’effacer son identité de fille harcelée » et évoquent des photos sur les réseaux sociaux où elle se proclamait « en transition ».
Les parents de l’adolescente ont découvert son changement de genre à l’aide d’une “carte de lycéen” oubliée par leur fille. Stupéfaits par la nouvelle, ils ont demandé des explications au lycée pour « faute grave ». Après plusieurs rendez-vous infructueux, ils ont fini par décider de la changer d’établissement.
Source : valeursactuelles.com
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Un cas d’école ! Le gouvernement encourage l’endoctrinement des jeunes et le bafouement de l'autorité parentale. L’idéologie du genre influence les décisions de l’Education Nationale et ce sont nos enfants qui en pâtissent : leur avenir et leur santé mentale peuvent en être durablement affectés. Veillons sur nos enfants.
Le CPDH demandera au nouveau Ministre de supprimer la circulaire Blanquer qui autorise un établissement scolaire à modifier "l'identité de genre" d'un ou d'une élève dans en parler à ses parents. En effet si "les parents sont membres de la communauté éducative", comme l'indique l'article L111-4 du code de l'éducation, alors les consignes données par l'ancien ministre de l'éducation nationale ne sont respectueuses ni de la place des parents ni de l'autorité parentale.