« Devant ces trafics réprimés par la loi, les pouvoirs publics sont restés passifs durant 3 années », dénonce l’association dans un communiqué du 29 juillet. « Pire, la Directrice de cabinet de la Préfecture de Paris avait répondu à Juristes pour l’enfance en 2022 « qu’aucun élément probant ne permettait d’attester avec certitude que ce salon serait le lieu de commission de tels délits (…) y compris le fait qu’une société qui pratiquerait, entre autres, la gestation pour autrui à l’étranger, soit annoncée dans la liste des participants à ce salon »», précise-t-elle (cf. GPA : la « complaisance » de la France ?).
En 2023, diverses actions avaient conduit au retrait des agences de GPA du programme. « Il semble cependant que certaines aient tout de même commercialisé des offres », indique l’association. Cette année, « il est évident qu’une nouvelle fois ces sociétés étrangères ont l’intention de proposer leurs prestations », dénonce-t-elle. Preuve en est l’annonce de la présence de plusieurs sociétés commerciales de GPA [1].
Source : www.genethique.org
Découvrir la suite de l'article sur le site d'origine